En forêt domaniale d'Agre, une équipe de chercheurs conçoit les sylvicultures de demain
Les données seront saisies sur place et comparées avec les mesures effectuées 4 ans plus tôt. Sandrine Perret de l'IRSTEA, Daniel Devanne et Didier Bier de l'ONF.
©Michel Desbordes / PangaiaL'état sanitaire des arbres est mentionné lors du recensement. Sophie Lorentz de l'AgroParisTech de Nancy saisit les données et Lucie Arnaudet, responsable du pôle RDI de l'ONF à Boigny-sur-Bionne et co-pilote du Groupe chêne.
©Michel Desbordes / PangaiaElles favorisent également des points de faible résistance et les cassures. L’insecte attaque des arbres indépendamment de leur vitalité, même des arbres bien portants peuvent être colonisés.
©Michel Desbordes / PangaiaLes étiquettes sont montées sur ressort afin de ne pas blesser l'arbre et accompagner sa croissance.
©Michel Desbordes / PangaiaLa mise en place de cellules de 10/10 permet de faciliter le marquage des tiges à enlever (RDI 0,5).
©Michel Desbordes / Pangaia©Michel Desbordes / Pangaia
Afin de respecter l'indice de compétition (RDI) défini certains arbres sont sélectionnés, ils seront abattus afin de maintenir le RDI à horizon de 4 ans.
©Michel Desbordes / PangaiaGilbert Douzon ('ONF) les identifie avec un ruban jaune, ils seront prélevés afin de maintenir le RDI à horizon de 4 ans. L’anneau de peinture blanche marque le niveau de mesure de la circonférence à 1,30 m.
©Michel Desbordes / PangaiaLe Groupe chêne viendra visiter le site une deuxième fois en été pour s'assurer que les interventions ont bien eu lieu et effectuer de nouvelles mesures.
©Michel Desbordes / PangaiaLa confrontation avec les données de la précédente phase de mesure permet d'en vérifier la cohérence.
©Michel Desbordes / PangaiaElles seront ensuite intégrées dans des modules de calcul permettant de modéliser les résultats.
©Michel Desbordes / PangaiaUn deuxième passage l'été permettra de mesurer les hauteurs de branches vertes.
©Michel Desbordes / PangaiaIls restent dans la base de données jusqu'à la prochaine phase de comptage qui actera leur disparition.
©Michel Desbordes / PangaiaSelon le protocole l'arbre peut être sain, blessé, dépérissant, chablis, mort ou disparu.
©Michel Desbordes / PangaiaLa mesure s'effectue à 1,30 mètre du sol.
©Michel Desbordes / Pangaia©Michel Desbordes / Pangaia
©Michel Desbordes / Pangaia
Sur 4 ans et en fonction du scénario appliqué à la surface, on peut observer des croissances de près de 3 mètres.
©Michel Desbordes / PangaiaIls seront ensuite intégrés dans des modules de calcul permettant de modéliser l'information.
©Michel Desbordes / PangaiaEn 2012, le Groupe chêne a installé un dispositif de cinq placettes orientées sur le chêne sessile.
©Michel Desbordes / Pangaia©Michel Desbordes / Pangaia